mercredi, février 21, 2007

OBTH c'est de la bombe bébé!

OBTH c'est le nom du projet ANR (Agence Nationale pour la Recherche) dans lequel je suis engagé avec trois autres collègues. Nous avons fait notre première rencontre le week-end dernier en baie de Somme. Ca a été un chouette week-end très studieux, beaucoup de projets en perspective et encore beaucoup de boulot.

Un groupe, un jour

The end et leur dernier album Elementary.

Très bon état d'esprit, de bons garçons, de bonnes références, de bonnes vibrations, pas un morceau en dessous d'un autre.

mercredi, février 14, 2007

Sainte Valentine

Parceque j'ai envie d'être pudique mais juste un tout petit peu, parceque j'avais écrit une longue déclaration mais qu'elle me faisait rougir et que c'eut été déplacé de la poster ici. Parceque tu m'en aurais sans doute voulu et tu aurais eu raison car la morale réprouve toutes ces pensées. Que veux-tu le manque de toi fait naitre des sentiments et des désirs que je peux à peine à chuchoter à tes oreilles.

Voila, je voulais juste te rappeler Miss Yavine que depuis cinq ans jour pour jour tu me hantes, tu me poursuis de ta tendresse, de ta chaleur et de tes charmes jusque dans mes rêves.

Bien sûr tu me fais rire, tu m'apportes ta légéreté et tu es d'aussi mauvaise foi que moi, même plus en fait, comme je suis galant disons que tu l'es autant. Bref j'avais commencé à louer tes multiples mérites (les miens aussi), insister sur le fait qu'il est difficile de partager la vie d'un matheux torturé (ça c'est pour faire mousser mon côté brun mystérieux).
Et puis très vite j'ai croisé ton regard ardent, gourmand et coquin, tu sais celui que tu as quand tu me prends par la main et que tu m'embrasses à pleine bouche, celui qui me fait me sentir comme un gros éclair à la vanille. Et là tout a dérapé très vite, tout a volé, les mots et tes vêtements surtout, pardon je n'aurai pas dû, mais tout est de ta faute et tu le sais, tu en es pleinement consciente et tu en joues. Un bel effeuillage littéraire à la hauteur de tes douces courbes.

Je n'ai pas su dire stop à mon imagination, et c'est ici et maintenant que je vais fermer la porte de ma chambre.

Désolé

Je voulais écrire un post spécial Rammstein avec 4 liens vers des morceaux que j'aime bien, il y'avait "Amerika", "Benzin", "Ich will" et "Ohne dich". Mais les commentaires sont tellement nuls que je n'ai pas voulu mettre ces liens. Entre la polémique autour d'Amerika (Bush il est méchant...) et plus que tout un débat nullissime sur le fait de savoir si ce groupe est nazi!
C'est un vieux débat, mais c'est de la pure crétinerie d'ailleurs pour citer le groupe :
« Sie wollen mein Herz am rechten Fleck, doch seh' ich dann nach unten weg, da schlägt es links! », ce qui signifie en français « Ils veulent mettre mon cœur sur le droit chemin/sur le chemin de l'extrême droite, pourtant si je regarde en moi, il bat à gauche! »

L'argumentaire est simple, simpliste, groupe de métal, chante en allemand (si, si je vous jure), imagerie militariste....chante en allemand, celle-là je l'ai trouvé très bonne.

Bon, je me fais une bonne tranche de fachisme et je cite Goethe :

"La tolérance ne devrait être qu'un état transitoire. Elle doit mener au respect. Tolérer c'est offenser."

et pour aggraver mon cas une de Kant :

"
Le ridicule est qu'on cultive l'apparence à l'encontre d'autrui jusqu'à s'imaginer qu'elle est vérité..."

mardi, février 13, 2007

Le retour de la souris volante

J'ai pu enfin écouter Battle of mice et leur album "A day of nights". J'avais été déçu par l'album de Neurosis et Jarboe, je m'étais très vite lassé. Finalement dans un style assez proche (mouais bof), certains appellent ça du stoner doom, avec une chanteuse bien plus intéressante, Battle of mice fait bien mieux. Mais la comparaison avec Neurosis et Jarboe s'arrête là, elle n'a pas de sens les deux approches artistiques sont complètement différentes.

Cet album n'est pas nécssairement facile d'accès, je ne l'écouterai pas au petit déj' car il est assez lourd, rien de techniquement bien évolué tout est basique, de la saturation, encore de la saturation et toujours de la saturation. Une rythmique lente, très heavy, du vrai doom et des breaks un peu éthérés forment la structure de presque tous les morceaux.
Julie Christmas la chanteuse a une voix de petite fille quand elle ne hurle pas, elle chuchote à la manière de Bjork, toujours au bord de la crise de nerf.

Là où des groupes comme Cult of Luna, Neurosis explosent, on sent chez Battle of mice une tension permanente qui est bien rendue grâce au chant et aux hurlements de Julie Christmas et à une utilisation très intelligente des guitares, c'est un album très oppressant et très impressionant de ce point de vue.

Matinales

Quel début de semaine catastrophique sur France Inter. Hier, Arlette Laguiller, j'en ai encore mal au coeur. Chez Bonnaud, la chronique d'Arnaud Viviant m'a exaspéré, j'en ai marre de ces mecs qui croient vivre en dictature, ça les excitent, ils se sentent rebelles, surtout Viviant qui a écrit "Génie du communisme" quel paradoxe!
D'habitude il me fait marrer, je l'apprécie énormément, mais là il m'a bien gavé.

Ce matin, on avait droit aux intellos dans la campagne présidentielle et qui étaient ces intellos?
Des Parisiens people comme d'hab', Max Gallo, Thierry Pech et BHL. Franchement nous faire passer BHL pour un écrivain, ok Drucker invite bien Jean d'Ormessan de l'académie Franchiaise pour lui lécher les bottes, BHL un cinéaste qui fait navets sur navets ok, BHL un philosophe, non! Là stop, je sais que deux collègues universitaires philosophes sortent un bouquin pour leurs étudiants "Pourquoi BHL n'est pas un philosophe", je vais l'envoyer à Nicolas Demorand.
Franchement Nicolas Demorand, présentateur du sept-neuf trente sur France Inter, licencié de philo, agrégé de lettres modernes, comment peut-il nous faire croire que BHL est un intellectuel?

Et le débat archinul entre les trois, au ras des paquerettes à déblatérer de lourds poncifs, bon demain j'écouterai autre chose, je vais finir par définitivement boycotter France Inter.

lundi, février 12, 2007

Hot, hot, hot

Oui je sais, le titre est volontiers aguicheur, prometteur. Mais tu es déçue, tu me l'as dit. Ce n'est jamais érotique. Et encore une fois ce ne sera pas le cas, alors peut-être qu'un jour je raconterai tes reliefs doucement vallonés et mes longues balades, comment je me perds, comment j'aimerai ne jamais me retrouver.

Le titre de ce message fait référence à un morceau de The Cure. Mais pour tromper l'ennemi je ne vais pas non plus parler de The Cure mais de "Oceanic" d'Isis.

Je ne connaissais pas cet album et je le découvre ce matin. Il semble encore plus proche que les autres de ce que peut faire Neurosis, difficile de ne pas penser au grand frère. Des morceaux lents et lourds, une texture hypersaturée, de longs breaks à la limite du postrock, c'est d'ailleurs cette touche postrock qui différencie Isis et Neurosis. L'utilisation des guitares est sans doute la grande force d'Isis, il y'a une très grande richesse de riffs.

J'ai aussi l'impression d'écouter du Mogwai énervé. J'ai hâte de découvrir leurs albums live.
Décidément j'aime de plus en plus ces mélanges de métal, de musique progressive et de postrock comme le font Cult of Luna, Isis, Neurosis mais aussi Anathema, My dying bride, The Gathering ou encore Tool dans des styles très différents.

Lamentable!

Quand j'écoute Arlette Laguiller, j'ai la nausée. Quelle médiocrité! Et puis à l'écouter j'ai la haine, elle mélange nazisme et capitalisme. Une réthorique puante, haineuse, je vais gerber.
Non vraiment, je n'aime pas Lutte Ouvrière, ils en sont encore au concept de dictature du prolétariat, c'est insupportable.

dimanche, février 11, 2007

Trois exposés de physique

Ce week-end je me suis farci trois exposés de physique donnés à l'académie des sciences. Je vais un tout petit peu les commenter.

Le premier par Thibault Damour "Espace, temps, matière et cosmos" porte sur la théorie des supercordes. Je n'ai pas apprécié son exposé, il a essayé de vendre la théorie des supercordes. Autant j'apprécie cette théorie, d'un point de vue mathématique elle est extrêmement élégante. Mais Thibault Damour en tant que physicien ne m'a pas convaincu. Il a présenté quelques prédictions de la théorie mais l'ensemble m'a laissé un goût amer, peu d'humour, des arguments tirés par les cheveux. J'ai préféré sur le même sujet des exposés de Dijkgraaf.

Le second par Pierre-Gilles de Gennes "Tribulations des inventeurs" est plus amusant, de Gennes est un fabuleux orateur. Il présente dans cet exposé le problème de l'innovation et de la découverte dans notre société. J'aime beaucoup sa vision de l'enseignement de la physique, dans laquelle il insiste sur les vertus de l'observation.

Le dernier, mon préféré, est celui de Serge Haroche "Puissance et étrangeté de la mécanique quantique". Il y explique de manière très brillante quelques aspects déconcertants de la mécanique quantique. Ce qui est passionant c'est la compréhension du passage de la mécanique quantique à la mécanique classique via les phénomènes de décohérence. Serge Haroche est un des spécialistes de la décohérence, il élève des chatons de Shrodinger.

Message à caractère érotique II

Ceci est la suite d'un long rêve, fort agréable, une épopée dans un jardin merveilleux à goûter des fruits plus juteux et plus sucrés les uns que les autres. Ah ce climat si doux, ces fleurs, ce verger........

Tout commence sans doute avec le grand Carl Friedrich Gauss (un peu trop conservateur à mon goût) se poursuit avec le fulgurant Bernhard Riemann. Les surfaces ces premiers fruits exceptionnels, objets géométriquement fondamentaux, dont la topologie grossière fût rapidement mise à nue.

Cependant, les surfaces et leur topologie possèdent des groupes de symétries plus complexes encore incompris. Ces groupes "les groupes modulaires" cristalisent des mathématiques différentes : théorie des groupes, dynamique, arithmétique etc. On peut citer le fameux groupe SL(2,Z), deuxième fruit au nectar ennivrant.

Je vais donc dévoiler à mes étudiants de Master 2 une partie de cette histoire en leur expliquant quelle est la structure algébrique de l'espace des courbes sur une surface (travaux de W. Goldman).

J'espère qu'ils feront de doux rêves eux aussi.

Christique

Aujourd'hui j'étais enfin crucifiable, j'avais gagné mon billet au prix d'une longue attente, d'un travail besogneux.

Mais les Romains ont fui, le colosseum n'est plus qu'une ruine. Et moi alors? Je suis là nu comme un vers, seul dans le froid, comme un con, j'attends la livraison des clous.
On m'avait promis une belle fin, j'en avais gagné des concours, écrasé, humilié des adversaires. J'ai été élu et puis aujourd'hui plus personne au lieu des vivas de la foule je me les gèle.

Tant pis, je reviendrai l'an prochain, je trouverai bien une bande de lions affamés prêts à me déguster pour leur petit déjeuner.

samedi, février 10, 2007

Iceberg

Comme à son habitude, c'est-à-dire avec des smileys plein a bouche, elle m'a dit "Oh s'il te plait, peux-tu déplacer ton blog sur mon site?". Après un long chantage affectif, je n'ai pas accepté, j'ai été fort. Mon blog restera ici, il y est bien. Il est hors de question que j'étale mes tripes ailleurs.

Elle va revenir à la charge, la tendresse est une chose horrible et le manque de tendresse est tout aussi insoutenable, tout ça me rend faible. Je finis toujours par craquer. Comme disait le grand Léo, le moment où on est le plus vulnérable c'est juste après avoir fait l'amour. Dans cette redescente où on se réfugie dans les bras de l'autre, de celle qui vous a tout donné, on a alors une dépendance folle à l'attention de l'autre. Comment supporter la solitude de ces instants après des échanges aussi fusionnels?

Je me souviens d'avoir lu, il y'a longtemps, une tribune d'une militante féministe sur le rapport des hommes au sexe, à l'amour et à la tendresse. Je fais partie de ces inadaptés sentimentaux qui magnifient tout, qui ont une image sacrée, sacralisée des femmes, bref un petit gamin incapabe de bâtir des relations adultes et qui ne peut concevoir que la femme soit son égal, c'était la conclusion de cet article.

mercredi, février 07, 2007

Delirium

Tropical attitude. J'ai besoin d'écrire ce soir, peut-être parceque je n'avais plus exercé depuis longtemps. Oui j'ai envie de déverser des vagues de mots : collision, trépanation, poulie, érotisme, sanctuaire, manivelle. Tout çà n'a pas grand sens, c'est un besoin organique, la qualité est sans doute très médiocre mais depuis quelques semaines j'ai lu trop de lignes minables, sans saveur, indignes d'une cour de récréation. Je vis l'écriture comme un acte solitaire, égoiste tout le temps douloureux mais tellement indispensable. Ouf ça va mieux, je me pose, je mets la musique fort elle est souvent triste, non elle est tout le temps triste et puis je me lance dans l'océan des mots pour m'y noyer.

Sonic Friends. Kalys a raison VNV Nation dégage dans ses morceaux quelque chose de profond qui vient de très, très loin qui a le don de me retourner. C'est presque animal, tribal, très primaire. Des morceaux comme Forsaken en live ou Further ou encore standing voire le remix de Kathy's song sont d'excellentes chansons. Je me reconnais complètement dans cette musique, festive mais triste de l'élégance, de la légérèté dans une noirceur basique.

And I lived. Suis-je de gauche? On me dit communiste. Waouhhhh, j'ai certes une admiration pour beaucoup de militants communistes. Je l'avoue j'ai déjà voté pour le PCF, je ne m'en cache pas. Mais je ne suis pas marxiste, je n'ai jamais adhéré à la pensée du PCF, je déteste la discipline de ce parti et que dire de l'histoire du communisme au 20ième siècle. Alors non je ne suis pas communiste, définitivement et viscéralement.
Alors tu me dis communiste car je déteste le PS, car je suis en désaccord total avec les Miterrandistes, avec Ségolène Royal mais je suis aussi en désaccord avec le discours de la gauche alter-mondialiste.
Je l'ai déjà écrit sur ce blog, je suis de l'ancienne gauche qui va de Jean Jaurés à Michel Rocard en passant par Laurent Schwartz et Pierre Mendès-France. Et au nom de cette ancienne gauche je revendique une farouche indépendance loin de toute contingence partisanne. Je suis pour un retour à la rigueur intellectuelle dans le débat politique, ce que je ne vois nulle part, la démocratie participative telle qu'on nous la vend est un ode à la médiocrité. Diriger avec le peuple et pour le peuple ce n'est pas parler comme le peuple. Bien sûr mes convictions baignent aussi dans des valeurs nihilistes et anarchistes.
Alain Finkielkraut ce matin sur France Inter a justement bien recentré le débat en rappelant que nous n'en sommes plus au stade de changer le monde comme le propose la plupart des publicitaires, car je ne peux les appeler des politiques, mais de sauver l'humanité. Pour une fois que je suis d'accord avec lui, il fallait que je le souligne. Et je dois dire que je partage son désarroi car comme lui je ne sais pas pour qui voter.

A Julien.

Ai-je trahi? Ai-je laissé filer ma révolte, l'ai-je gaspillé?
Si j'étais sûr de moi, j'aimerai te dire que non. J'aimerai te dire que ce qui me constitue, ce qui me fonde, ce que je crois par delà tout l'absurde qui nous entoure, c'est le devoir de renoncement et de dépassement de soi.

Ce sont ces valeurs apprises dans la souffrance, dans ton regard. Tu sais cette certitude folle que chaque jour qui te restait, qui pouvait être l'ultime et qui l'a été vite trop vite, chacun de ces jours devait te voir te dépasser. C'est ce combat perdu d'avance pour certains mais que tu gagnais chaque jour à mes yeux qui te faisait tellement humain. On peut admirer des icônes de l'histoire, de l'art, de la mode, moi je t'admirais toi, tu étais plus humain que bien des humains dans ton corps martyrisé.

Tu as vu j'ai employé le mot devoir, c'est un peu une insulte non? Tu l'auras compris ce devoir c'est vis à vis de moi et de personne d'autre, de ma charpente, de toutes mes larmes, de mes cris de douleurs quand j'étais gamin. Il faut transcender ses douleurs leur donner du sens, penser que c'est une chance, même si je sais combien ça coûte.

Il fût un temps où je m'étais oublié, où après un période de révolte intense, de colère contre ce foutu monde, j'avais sombré dans la facilité. Le chagrin de perdre son innocence de prendre conscience qu'on ne changera pas ce monde que l'on déteste tant. Et puis il y'avait toutes ces filles, leurs sourires, leurs parfums et l'impossibilité de se croire aimé, les déchirements du désir. Cette sensation de n'être qu'une grosse merde. Alors le confort des révoltes bourgeoises, les paradis artificiels et tout ce genre de petites conneries, le nihilisme le plus banal matiné d'une dose de Dandysme médiocre et surfait.

Mais la vie fait parfois de beaux cadeaux, j'en ai eu deux, Julien. J'ai retrouvé le temps d'un été dans le regard de tous ces bambins qui souffrent loin de tous ce qui me faisait tenir debout. Et je me suis repris intellectuellement, Camus, Dostoievski, Nietzche, les mots m'ont aidé à structurer à comprendre mon malaise.
J'ai de nouveau aimé le doute, je me suis rappelé que le dépassement de soi donnait un semblant de sens, qu'il y'avait une multitude de vies possibles.

Est-ce qu'aujourd'hui j'arrive à me dépasser et à renoncer au confort et au ronron? Je ne sais pas, je fais de mon mieux, j'essaye de ne pas me compromettre. Il y'a des visages qui aident, des rencontres qui te grandissent, tu es de ces visages là.

Sur le vide

Qu'est-ce que le vide?

Une réponse possible ici.

Une époque formidable!

Bangalore, j'adore. Mmmmmm, je caresse ma parano dans le sens de mes synapses, attention orgasme neuronal en perspective.

Perspective, ce semestre je n'enseigne pas la géométrie projective, c'est un soulagement. Je reprends l'année prochaine. En enseignant en master 2 cette année, je me suis rendu compte qu'aucun de nos étudiants n'était capable de poursuivre en thèse, ils ont trop de lacunes en algèbre et en géométrie. A force d'avoir diminuer le niveau on a fermé des portes à nos meilleurs étudiants c'est dramatique.

Sinon dans un autre registre je recommande chaudement le très brilliant exposé d'Alain Connes à l'Académie des sciences.

Perfide Yavine

Peut-être ne devrais-je pas écrire ton pseudo ici? Mon blog risque de se faire fermer, je risque de perdre des messages, tout ça pour avoir écrit ton pseudo.

Y : comme "Y'a qu'à",
A : comme Alambic,
V : comme "Vous ne me faites pas peur",
I : comme Ile,
N : comme Nain,
E: comme Ether.

Tout allait tellement bien j'avais réalisé l'exploit de lui faire voir les films de Peter Jackson et puis vlan ça a été la tuile. De' ces grosses tuiles qui vous font louper un soupe Gambas-vermicelles.