Déprimant bis
Décidément j'ai du mal avec les sorties de notre sinistre de l'inculture. L'ami des artistes, tout comme on avait remarqué que ma supérieure hiérarchique était l'amie des chercheurs (au passage c'est mieux comme çà une ministre de la recherche n'a pas à être la ministre des chercheurs), bref celui qui a subi des attaques dégueulasses s'en prend maintenant aux paroles d'un groupe de rap.
Acte 1) Il défend le rappeur Orelsan, je dis bravo, même si je hais le rap (c'est physique et je le cultive, je déteste cette culture). Je suis attaché à ce que la liberté d'expression soit respectée y compris pour dire, écrire, hurler les pires conneries.
Acte 2) Le ministre des artistes se fait attaquer sur ce qu'il a écrit. Je trouve ces attaques indignes.
Acte 3) La ligne de défense de l'UMP est une violente réaction contre le net, du moralisme mal placé pour se battre contre un excès de moralisme. Bref du grand n'importe quoi et toujours la peur d'un média que l'on ne contrôle pas encore (ça va venir).
Acte 4) Le ministre s'en prend à un groupe de rap qui nique la police municipale.
Si vous trouvez une quelconque cohérence autre qu'une explication politicienne d'un rachat d'une image bien moralisante pour un électorat de droite déçu faites-moi signe.
C'est dommage j'aurais voulu écrire "un jour on leur mettra bien profond", mais je n'y crois plus et ce n'est même plus ma préoccupation. Ils aiment le pouvoir qu'ils se roulent dans leur merde. Heureux ceux que le pouvoir ne fait pas frissonner, nous on ira s'ennivrer dans des ailleurs plus chaleureux en charmante compagnie.
Acte 1) Il défend le rappeur Orelsan, je dis bravo, même si je hais le rap (c'est physique et je le cultive, je déteste cette culture). Je suis attaché à ce que la liberté d'expression soit respectée y compris pour dire, écrire, hurler les pires conneries.
Acte 2) Le ministre des artistes se fait attaquer sur ce qu'il a écrit. Je trouve ces attaques indignes.
Acte 3) La ligne de défense de l'UMP est une violente réaction contre le net, du moralisme mal placé pour se battre contre un excès de moralisme. Bref du grand n'importe quoi et toujours la peur d'un média que l'on ne contrôle pas encore (ça va venir).
Acte 4) Le ministre s'en prend à un groupe de rap qui nique la police municipale.
Si vous trouvez une quelconque cohérence autre qu'une explication politicienne d'un rachat d'une image bien moralisante pour un électorat de droite déçu faites-moi signe.
C'est dommage j'aurais voulu écrire "un jour on leur mettra bien profond", mais je n'y crois plus et ce n'est même plus ma préoccupation. Ils aiment le pouvoir qu'ils se roulent dans leur merde. Heureux ceux que le pouvoir ne fait pas frissonner, nous on ira s'ennivrer dans des ailleurs plus chaleureux en charmante compagnie.
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