Premier message de 2010
Long silence pour cause de période de création intense, de concours, d'articles à écrire, d'autres à réviser et encore d'autres à valider, la fuite aux USA et le retour ici.
Je suis parti une semaine à New-York pour le boulot et même si c'était excellent professionnellement je n'en garde pas un bon souvenir touristique. Il faut avouer que j'ai un goût mesuré pour ces grandes cités.
J'étais heureux d'être loin de la France, ici j'étouffe, je n'ai plus de désir pour Marianne, faut dire que dans son costume Umpiste elle n'est pas bandante, plutot rétrécie et médiocre. On vit une sale période d'abaissement intellectuel, de paresse généralisée.
Pendant que la majorité trime dans des conditions de plus en plus difficiles psychologiquement, que ce soit dans le privé, à l'hôpital, à l'école ou à l'université où la violence fait peu à peu son apparition (agressions à Toulouse, P13), où les techniques managériales se mettent en place partout, une élite politique, médiatique et même scientifique se vautre dans la médiocrité et la bêtise.
Car ce qui triomphe en ce moment c'est la bêtise et le cynisme, inutile d'imaginer des alternatives sans se faire traiter de bobo gaucho-bisounours ou de méchant fachiste. Le rouleau compresseur médiatique à ériger deux pseudos pensées dominantes qui se font face dans ce qui est devenue une immense farce médiatique et qui au final ne sert qu'à entretenir une illusion de débat. De toute façon on a pas le temps pour exprimer une pensée nuancée, alternative ni même pour une critique radicale et approfondie de notre société.
Alors Guillon peut faire face à Besson et Zemmour aux antiracistes, çà les amusent tous, çà les excitent, ils ont leur polémique. Marianne se croit anticonformiste, J.-F. Kahn, P. Cohen, B. Charles veillent au grain, flatulences médiatiques, flatulences éditoriales.
Pendant ce temps, les banques nous font le cul, les socialos gardent leurs postes au chaud, ils réajusteront, l'aumône et la charité ils savent faire comme de vieilles dames patronesses, car changer et repenser les limites du marché est devenu une insulte et un truc de facho ou de stalinien. Ceux qui se disent d'en face se vautrent dans la bouse de leurs débats sur l'identité nationale, ils éjaculent sur les burquas, se taper du musulman çà les soulagent attendu qu'ils ne peuvent rien faire d'autre puisque les cadeaux ont déjà été distribués.
Je suis parti une semaine à New-York pour le boulot et même si c'était excellent professionnellement je n'en garde pas un bon souvenir touristique. Il faut avouer que j'ai un goût mesuré pour ces grandes cités.
J'étais heureux d'être loin de la France, ici j'étouffe, je n'ai plus de désir pour Marianne, faut dire que dans son costume Umpiste elle n'est pas bandante, plutot rétrécie et médiocre. On vit une sale période d'abaissement intellectuel, de paresse généralisée.
Pendant que la majorité trime dans des conditions de plus en plus difficiles psychologiquement, que ce soit dans le privé, à l'hôpital, à l'école ou à l'université où la violence fait peu à peu son apparition (agressions à Toulouse, P13), où les techniques managériales se mettent en place partout, une élite politique, médiatique et même scientifique se vautre dans la médiocrité et la bêtise.
Car ce qui triomphe en ce moment c'est la bêtise et le cynisme, inutile d'imaginer des alternatives sans se faire traiter de bobo gaucho-bisounours ou de méchant fachiste. Le rouleau compresseur médiatique à ériger deux pseudos pensées dominantes qui se font face dans ce qui est devenue une immense farce médiatique et qui au final ne sert qu'à entretenir une illusion de débat. De toute façon on a pas le temps pour exprimer une pensée nuancée, alternative ni même pour une critique radicale et approfondie de notre société.
Alors Guillon peut faire face à Besson et Zemmour aux antiracistes, çà les amusent tous, çà les excitent, ils ont leur polémique. Marianne se croit anticonformiste, J.-F. Kahn, P. Cohen, B. Charles veillent au grain, flatulences médiatiques, flatulences éditoriales.
Pendant ce temps, les banques nous font le cul, les socialos gardent leurs postes au chaud, ils réajusteront, l'aumône et la charité ils savent faire comme de vieilles dames patronesses, car changer et repenser les limites du marché est devenu une insulte et un truc de facho ou de stalinien. Ceux qui se disent d'en face se vautrent dans la bouse de leurs débats sur l'identité nationale, ils éjaculent sur les burquas, se taper du musulman çà les soulagent attendu qu'ils ne peuvent rien faire d'autre puisque les cadeaux ont déjà été distribués.