Gravity is the law
Du bon usage de la colère
J'avais débuté un texte sur toi, je ne suis pas arrivé à le poster, c'était trop douloureux, et la nuit dernière tu es venu me visiter en rêve comme tu le fais souvent depuis que tu es parti.
C'est ton souvenir qui se bat contre l'oubli. Comment puis-je t'oublier alors que la douleur du manque est chaque jour plus dure à porter.
Je n'arrive pas à trouver la paix, il me faut vivre avec cette cicatrice béante, mais je ne veux pas me laisser tomber assis que je suis sur le rebord du monde à te regarder t'éloigner. Juste me cacher pour qu'on ne devine pas mes larmes quand le chagrin est trop fort.
Essayer tous les jours de lutter contre la gravité, contre cette balistique folle, c'est perdu d'avance. Peu importe, je te prolonge, maladroitement, mais je te prolonge j'en suis sûr et quand je sonde les parcelles les plus reculées de mon coeur je sais que je te retrouve. Dans ma tête un tas d'images se bousculent et des océans montent aux yeux, tu me manques. Je te revois t'éloigner sur ta moto dans les lueurs naissantes du matin, me prendre contre toi, j'entends ton rire et tes colères.
Vivre avec des regrets, croire que tu as entendu mes derniers mots que tu as senti ma main prendre la tienne, toi qui a eu la force de m'attendre pour t'en aller. Tu vois tu ne m'as pas abondonné, c'est moi qui suis parti un peu trop loin et trop vite.
Aujourd'hui, je te cherche dans nos chemins, mais les routes changent et tu n'aimerais pas voir ce que ce putain de monde devient. Je n'aime pas la fin de l'histoire telle que je crois la deviner. Des hommes comme toi ou comme le gamin que tu as forgé et que j'essaye d'être n'ont plus leur place parmi les humains. Cependant il me faut bien être parmi les notres, les soutenir, les aider sans leur amour je ne serai rien et c'est parmi eux que je te retrouve.
Et puis il y'a cette fille, et les conneries qu'on peut faire pour lui voler son rire, juste un sourire suffit.
Imaginer qu'on puisse s'arracher quelques instants au déterminisme Newtonnien et du chaos des sentiments aller créer un désordre gravitationnel du coeur, c'est peut-être ce qu'ils appellent donner du sens.
J'avais débuté un texte sur toi, je ne suis pas arrivé à le poster, c'était trop douloureux, et la nuit dernière tu es venu me visiter en rêve comme tu le fais souvent depuis que tu es parti.
C'est ton souvenir qui se bat contre l'oubli. Comment puis-je t'oublier alors que la douleur du manque est chaque jour plus dure à porter.
Je n'arrive pas à trouver la paix, il me faut vivre avec cette cicatrice béante, mais je ne veux pas me laisser tomber assis que je suis sur le rebord du monde à te regarder t'éloigner. Juste me cacher pour qu'on ne devine pas mes larmes quand le chagrin est trop fort.
Essayer tous les jours de lutter contre la gravité, contre cette balistique folle, c'est perdu d'avance. Peu importe, je te prolonge, maladroitement, mais je te prolonge j'en suis sûr et quand je sonde les parcelles les plus reculées de mon coeur je sais que je te retrouve. Dans ma tête un tas d'images se bousculent et des océans montent aux yeux, tu me manques. Je te revois t'éloigner sur ta moto dans les lueurs naissantes du matin, me prendre contre toi, j'entends ton rire et tes colères.
Vivre avec des regrets, croire que tu as entendu mes derniers mots que tu as senti ma main prendre la tienne, toi qui a eu la force de m'attendre pour t'en aller. Tu vois tu ne m'as pas abondonné, c'est moi qui suis parti un peu trop loin et trop vite.
Aujourd'hui, je te cherche dans nos chemins, mais les routes changent et tu n'aimerais pas voir ce que ce putain de monde devient. Je n'aime pas la fin de l'histoire telle que je crois la deviner. Des hommes comme toi ou comme le gamin que tu as forgé et que j'essaye d'être n'ont plus leur place parmi les humains. Cependant il me faut bien être parmi les notres, les soutenir, les aider sans leur amour je ne serai rien et c'est parmi eux que je te retrouve.
Et puis il y'a cette fille, et les conneries qu'on peut faire pour lui voler son rire, juste un sourire suffit.
Imaginer qu'on puisse s'arracher quelques instants au déterminisme Newtonnien et du chaos des sentiments aller créer un désordre gravitationnel du coeur, c'est peut-être ce qu'ils appellent donner du sens.
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