dimanche, novembre 19, 2006

Dressage de lombrics

Debout! Ce n'était qu'un rêve, ouf!!!
J'ai bien cru y passer, j'ai bien cru que tu allais vraiment les prendre ces cours et ta mère qui te poussait pour que tu t'abonnes et moi qui mangeait la nappe de honte.

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Délicieusement nue comme une lombric lubrique tu te dresses
"REVENGE"
le fouet claque. Des hordes de fraises déboulent, sabre entre leurs dents. Elles me lacèrent, me découpent, je suis deux, puis dix, puis sang. Mes morceaux volent, les missiles de chantilly déchirent le ciel de ma chambre, tu me dévores, m'engloutis, m'assimile. Tu me dis "j'erre". Tu m'offres l'ubiquité, démultiplication, exploration de multivers, voyage au delà de la constante de Planck au frais de la moiteur de tes entrailles. Tu es devenue l'accélératrice de mes particules, je ne suis nulle part et tu es partout.
STOP redescente salutaire vers le un, recoller les morceaux. Je viens enfin m'écraser sur ta planète, tu as gagné tu étais trop nombreuse.