dimanche, mai 20, 2007

Maurice

Je suis toujours autant fasciné par Dantec. Je partage l'esthétique de son pessimisme, il y'a sans doute une fascination semblable pour le sacré, explicite chez lui qui est croyant, implicite chez moi. La foi est sans doute un des actes les plus désespérés, l'ultime abandon.
Même avis sur la littérature française contemporaine, que je prolongerai à toute la chanson française.

Fasciné aussi par le dernier album d'Elend "A world in their screams". C'est l'époque qui veut çà, je célèbre déjà la fin.